Daredevil Redemption - Hine - Gaydos

Redemption, Alabama. Un enfant du coin est retrouvé tué et mutilé. Après une enquête expéditive le shérif et ses hommes mettent la main sur trois suspects qui font des coupables idéals. Deux garçons et une fille du coin, se disant satanistes tous les trois. Dans le contexte explosif de la mort d’un enfant dans une petite communauté l’affaire est pliée, c’est la chaise électrique qui attend les trois jeunes en dépit de leurs protestations d’innocence. Cette affaire désespérée, pourtant, c’est le brillant Matt Murdoch, plus connu sous le nom de Daredevil, qui la prend en charge en défense de l’accusé principal, sur l’insistance d’une mère sure de l’innocence de son fils. En terrain hostile, l’avocat new-yorkais mettra toute son énergie à disculper son client et à découvrir le vrai coupable. Car, dans une ville où le fanatisme religieux règne et où de sombres secrets obscurcissent la vue, seul l'aveugle qu'il est peut espérer y voir clair. Daredevil Redemption est un one-shot réé

A coté du Canard WC, et plus utile

Pour placer d'entrée de jeu les prétentions culturelles de ce blog à un niveau élevé, il m'a semblé indispensable de commencer par quelques ouvrages dont la présence dans les toilettes en fait un lieu où il fait bon se (re)poser quelques minutes, à l'abri de la frénésie du monde moderne.
Attaquons donc cette séquence avec l'indispensable "Miscellanées de Mr Schott" !





Succès de librairie de l'an passé "Les miscellanées de Mr Schott", oeuvre comme son nom l'indique de Ben Schott, est l'archétype de l'excellent ouvrage pour lieu d'aisance. Disant tout sur tout, et surtout sur rien, il permet d'apprendre quelques perles totalement inutiles, à réutiliser pour briller dans les diners. Petit billet après petit billet, nous découvrons donc une table de conversion de Celsius en Farenheit, la liste de quelques chevaux célèbres et de quelques popstars prématurément décédées (c'est à dire mortes), les prénoms des soeurs Brontë, les différentes appartions d'Alfred Hitchcock dans ses films, les couleurs avec lesquelles on éclaire l'empire State Building en différentes occasions festives, etc... Il y en a sur 150 pages. De quoi y revenir souvent sans s'ennuyer.
Les miscellanées de Mr Schott, Ben Schott