Horizons obliques - Richard Blake

Sortie demain de Horizons obliques , un one-shot SF de Richard Blake. Il y a des années que Jacob et Elena Armlen se sont perdus dans une dimension parallèle qu'ils tentaient de cartographier. Depuis aussi longtemps Adley, leur fille, veut les retrouver. Après un long entrainement elle part donc en quête de parents depuis trop longtemps absents, à travers des mondes incroyables, avec l'aide de ses grands-parents, d'un impressionnant appareillage technologique de voyage transdimensionnel, de ses dons de prescience, et d'un robot humanoïde nommé Staden. Si le scénario, plutôt contemplatif, pourra désarçonner certains lecteurs, on ne peut qu'être impressionné par la beauté envoutante des planches réalisées intégralement par un auteur qui est peintre avant d'être bédéaste (et dont c'est le premier album) . Dès la première page représentant un rêve d'Adley portant un ours polaire sur son dos on est saisi par le style et la qualité graphique de l'album. L&

Le syndrome indigo - Clemens J. Setz


"Le syndrome indigo", du Mozart de la littérature autrichienne Clemens J. Setz, est très déroutant, mais superbe. Comme un excellent alcool bu en trop grande quantité.

« Et tout autour de lui, d'innombrables mouches à fruit, comme une maladie de peau de l'air » Si tu ne peux résister à cette phrase, viens !

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 77, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

En Autriche existe une école internationale pour les enfants souffrant d’un dérangement très singulier, le syndrome indigo. Dès leur naissance, les « enfants indigo », dotés de capacités suprasensibles, causent à leurs proches des troubles inexpliqués : vertiges, vomissements, violents maux de tête. Clemens J. Setz, jeune mathématicien, enseigne dans cette école et remarque que des élèves, déguisés d’étrange façon, partent en voiture pour une destination inconnue et ne reviennent plus. Setz se met à poser des questions sur ce que la direction de l’école appelle pudiquement des relocalisations, mais il est aussitôt remercié. Quinze ans plus tard a lieu le procès très médiatisé d’un ancien professeur de mathématiques accusé d’avoir tué un homme qui torturait des animaux.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :



Commentaires

Plume a dit…
Pas besoin d'en dire plus, je le note direct ! Je lirai tout de même ta critique quand elle sortira hein ^^
Gromovar a dit…
J'espère bien ;)