Horizons obliques - Richard Blake

Sortie demain de Horizons obliques , un one-shot SF de Richard Blake. Il y a des années que Jacob et Elena Armlen se sont perdus dans une dimension parallèle qu'ils tentaient de cartographier. Depuis aussi longtemps Adley, leur fille, veut les retrouver. Après un long entrainement elle part donc en quête de parents depuis trop longtemps absents, à travers des mondes incroyables, avec l'aide de ses grands-parents, d'un impressionnant appareillage technologique de voyage transdimensionnel, de ses dons de prescience, et d'un robot humanoïde nommé Staden. Si le scénario, plutôt contemplatif, pourra désarçonner certains lecteurs, on ne peut qu'être impressionné par la beauté envoutante des planches réalisées intégralement par un auteur qui est peintre avant d'être bédéaste (et dont c'est le premier album) . Dès la première page représentant un rêve d'Adley portant un ours polaire sur son dos on est saisi par le style et la qualité graphique de l'album. L&

Les racines du mal - Ian Tregillis


"Les racines du mal", du pote à GRRM Ian Tregillis, est le premier tome d'une trilogie d'histoire parallèle secrète plus ou moins uchronique, avec WWII, nazis, super-héros et sorciers. My, my, my..., Ouille, ouille, ouille.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 76, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Nous sommes en 1939. La guerre bascule après la découverte par un espion britannique de documents confidentiels traitant d’un programme nazi ultra secret sur la création de surhommes aux pouvoirs dévastateurs. Certains peuvent traverser les surfaces solides, d’autres créer des jets de flammes ou encore voir l’avenir. Pour lutter à armes égales, les Anglais font appel à des forces interdites et les derniers sorciers du royaume passent un pacte avec des puissances antédiluviennes, les Eidolons. Toutefois, la sorcellerie a un prix, et les sacrifices consentis pour vaincre l’ennemi se révélent bien plus terribles que la défaite. Comment faire pour reprendre le contrôle de cette guerre qui pourrait être la dernière que le monde connaisse ?
Dans ce trépidant récit uchronique, Ian Tregillis décrit une Seconde Guerre mondiale dont les protagonistes sont dépassés par les enjeux, et dont aucun ne sortira indemne.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :



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