L'orateur - Blengino - Goy - Palma

Quelques mots sur le one-shot L'Orateur , récemment sorti chez Glénat. Rome, IIe siècle. Edilus est médecin, grec d'origine, il a un fils prénommé Alexandros. Et aujourd'hui, en pleines Lupercales , Edilus vient consulter son patient Marcus Cornelius Florens, surnommé L'orateur, le plus grand avocat de Rome. Car Edilus, fort de sa Patria Potestas , souhaite déshériter son fils - ce qui ne pose aucun problème, contrairement à la France où la réserve héréditaire serait protégée pour le rejeton -, et réfléchit aussi à le tuer - ce qui, dans la loi romaine, n'est pas aussi clair que ça a parfois été dit. Voilà pourquoi Edilus a besoin, sur la faisabilité de la chose, d'un avis d'expert, celui de l'hypocondriaque Marcus. Mais Marcus qui, une fois encore, se voit mourant, envoie balader son interlocuteur. Veuf, en deuil non seulement de sa femme mais  aussi de ses deux fils, l'homme n'a pour compagnons proches que deux esclaves, le jeune Antoninus et

Etude en noir (poubelle)


Il est extrêmement rare que j'arrête une lecture au milieu. Au pire, d'habitude, je termine puis explique dans une chronique négative les défauts que j'ai trouvés au livre.

Là, après 200 pages environ, j'abandonne. Souvent mal écrit, peut-être mal traduit (que sais-je ?), absurde sans qu'aucun liant efficace ne vienne jamais rassembler le tout, Etude en noir, à quelques rares moments près, m'a profondément ennuyé.

Ayant souffert à en lire deux tiers, je ne souhaite pas souffrir encore à gloser dessus. Cette chronique se termine donc là, sur un avertissement : Keep Out !

Commentaires

Roffi a dit…
Vous aviez déjà lu des romans de cet auteur ?
. Je l’avais vu chroniqué par ailleurs de façon dithyrambique mais je crois que je vais m’abstenir, ça me paraît confus.
Gromovar a dit…
Oui, beaucoup même. Et j'ai souvent beaucoup aimé.
Mais là ça m'est tombé des mains et c'est une chose rare.
Je le déconseille fortement.