La grande muraille de Mars - Alastair Reynolds

La grande Muraille de Mars est la version française du méga recueil d’Alastair Reynolds intitulé en VO  Beyond the Aquila Rift . Dans des traductions de Pierre-Paul Durastanti, Laurent Queyssi et Florence Dolisi, ce sont pas moins de 16 textes (2 de moins que dans la VO) qui s’étalent sur 640 pages. Au fil de ces milliers de signes c’est l’avenir imaginé par Alastair Reynolds qui se dévoile aux yeux ébahis du lecteur amoureux de SF. Car c’est bien de SF qu’il s’agit ici. Toujours. Même quand ça peut ressembler à autre chose. Certains de ces textes appartiennent au Cycle des Inhibiteurs , ce cycle bien connu de notre club qui raconte l’histoire future d’une humanité spatiopérégrine et divergente dont les différentes branches, souvent en conflit armé, se distinguent par leur degré de fusion avec les machines. C’est le cas notamment des deux premiers, La grande muraille de Mars et Zéphyr qui racontent, de transhumanisme en tentative de génocide, les débuts de la divergence et les ...

Etude en noir (poubelle)


Il est extrêmement rare que j'arrête une lecture au milieu. Au pire, d'habitude, je termine puis explique dans une chronique négative les défauts que j'ai trouvés au livre.

Là, après 200 pages environ, j'abandonne. Souvent mal écrit, peut-être mal traduit (que sais-je ?), absurde sans qu'aucun liant efficace ne vienne jamais rassembler le tout, Etude en noir, à quelques rares moments près, m'a profondément ennuyé.

Ayant souffert à en lire deux tiers, je ne souhaite pas souffrir encore à gloser dessus. Cette chronique se termine donc là, sur un avertissement : Keep Out !

Commentaires

Roffi a dit…
Vous aviez déjà lu des romans de cet auteur ?
. Je l’avais vu chroniqué par ailleurs de façon dithyrambique mais je crois que je vais m’abstenir, ça me paraît confus.
Gromovar a dit…
Oui, beaucoup même. Et j'ai souvent beaucoup aimé.
Mais là ça m'est tombé des mains et c'est une chose rare.
Je le déconseille fortement.