Mauvaise graine - Octavia Butler

Mauvaise graine est le premier volume diégétique de la série Patternist d'Octavia Butler , même s'il n'a été publié qu'en quatrième position, après Le Maître du réseau , Le Motif , La Survivante (désavoué par Butler elle-même dès 1981) , et avant Humains, plus qu'humains . Il est publié aujourd'hui en français Au Diable Vauvert , l'éditeur emblématique d'Octavia Butler. XVIIIe siècle, Ouest de l'Afrique. Doro ressemble à un homme africain. Ressemble seulement car il est plus que cela, Doro est un esprit généré il y a 3700 ans en Nubie. Il passe depuis de corps en corps, tel un vampire psychique qui détruit la conscience de ceux qu'il habite lorsqu'il s'installe pour un temps dans leur enveloppe charnelle. Bernard-l'hermite mental, Doro use en accéléré le corps de son hôte/victime puis l'abandonne à la mort lorsqu'il saute dans un autre corps qui remplira pour lui la même fonction. Anyanwu est une guérisseuse âgée de plus de...

Crasse rose - Fernanda Trias


Ecrit avant le Confinement et en décrivant un, Crasse rose a eu bonne presse. C'est fondamentalement un roman de blanche qui met en scène des relations humaines ou naturelles dysfonctionnelles. Si tu lis de l'Imaginaire, lecteur, tu peux avoir piscine.


Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 112, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Roman pré-apocalyptique, inquiétant et poétique, du délitement d’un monde envahi par nos déchets, par la saleté et la pollution liées à la surconsommation après qu’un étrange fléau s’est abattu sur une ville portuaire condamnée au confinement de ses habitants. Se nourrir devient alors un défi quotidien, et pour survivre, il faut consommer la « crasse rose », cette pâte fabriquée à partir des déchets d’animaux. Réflexion sur notre mode de vie suicidaire mêlée à une sorte de fascination morbide face à l’esthétique étrange des cataclysmes.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :



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