Cave Girls vol 1 - Broadmore - Lanning - Boshier

Grand format d'image pour grand album ;) Cave Girls de Greg Broadmore, assisté d’Andy Lanning et Nick Boshier. Ouch ! Quelle claque ! L’album, monumental par sa taille et son poids, est une succession ininterrompue de planches plus impressionnantes les unes que les autres. Tout commence par un petit morceau de viande que Chemin-Droit, chasseuse préhistorique, donne à un vélociraptor qu’elle appelle ironiquement Gringalet. Un don qui lui sauvera la vie bien plus tard, quand Gringalet aura l’occasion de lui renvoyer l’ascenseur. Wait ! On rembobine. Chasseuse préhistorique et vélociraptor ! On comprend là que ce premier volume de la série Cave Girls se passe dans un monde uchronique, ou fantastique, ou, mieux encore, d’héroïc fantasy. Car s’il y a un âge barbare c’est ici qu’il se trouve, bien plus encore que dans le monde de Conan . Autre différence de taille, la tribu de Chemin-Droit n’est constituée que de femmes et de filles. Aucun homme à l’horizon de ces amazones dont la plus...

Crasse rose - Fernanda Trias


Ecrit avant le Confinement et en décrivant un, Crasse rose a eu bonne presse. C'est fondamentalement un roman de blanche qui met en scène des relations humaines ou naturelles dysfonctionnelles. Si tu lis de l'Imaginaire, lecteur, tu peux avoir piscine.


Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 112, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Roman pré-apocalyptique, inquiétant et poétique, du délitement d’un monde envahi par nos déchets, par la saleté et la pollution liées à la surconsommation après qu’un étrange fléau s’est abattu sur une ville portuaire condamnée au confinement de ses habitants. Se nourrir devient alors un défi quotidien, et pour survivre, il faut consommer la « crasse rose », cette pâte fabriquée à partir des déchets d’animaux. Réflexion sur notre mode de vie suicidaire mêlée à une sorte de fascination morbide face à l’esthétique étrange des cataclysmes.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :



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