The End of the World as we Know it - Anthologie The Stand

Il y a des années j’ai lu et apprécié The Stand – même si j’ai un peu allégé ce très (trop) long roman. J’ai ensuite lu l’adaptation BD , ce qui prouve que mon appréciation n’était pas fake. Voilà que sort une anthologie coécrite par certains des bons auteurs du moment. Elle revisite l’univers de The Stand , y retourne, nous en dit plus sur des choses que King n’avait pas trouvé le temps de raconter, nous offre le plaisir coupable de retourner arpenter une terre ravagée. Edité par Christopher Golden et Brian Keene, doté d’une introduction de Stephen King, d’une préface de Christopher Golden et d’une postface de Brian Keene, The End of the World as we Know it rassemble des textes de Wayne Brady et Maurice Broaddus, Poppy Z. Brite, Somer Canon, C. Robert Cargill, Nat Cassidy, V. Castro, Richard Chizmar, S. A. Cosby, Tananarive Due et Steven Barnes, Meg Gardiner, Gabino Iglesias, Jonathan Janz, Alma Katsu, Caroline Kepnes, Michael Koryta, Sarah Langan, Joe R. Lansdale, Tim Lebbon, Josh...

Noël au palais présidentiel - Siébert


En ce jour de Noël, Christophe Siébert offre aux lecteurs son Christmas Carol, un inédit coupé au montage du roman Feminicid, lisible ici.


En quelques mots, disons que "Noël au palais présidentiel" est l'histoire d'une brève rencontre. Une rencontre entre l'avocat Anton Edouardovitch Bolchov et son client imposé, Sasha Romanski. Une entrevue dont la seule finalité est de donner un vernis de justice équitable à ce qui n'est qu'un assassinat politique déguisé.

La confession de Romanski dévoile une partie cachée de l'histoire politique de Mertvecgorod et rappelle (ou fait découvrir) au lecteur la cruauté inhumaine de la vie politique locale et la dureté, hélas si humaine, de la vie tout court en Mertvecgorod.


Un texte à lire d'urgence tant ce court récit est un baume apaisant sur les éventuelles déceptions que ces fêtes ont pu vous réserver, entre cadeaux ratés et isolement Covid.

Votre Noël n'a pas été parfait ? Lisez à quoi ressemble celui de Sasha Romanski :

Il s’appelle Sasha Romanski et demain il va mourir. Il a vécu une vie de merde – vraiment ce qu’on peut appeler une vie de merde – et a tenté de s’en extraire en faisant preuve de courage, de loyauté et d’héroïsme. En récompense, ils vont le fusiller.


Noël au palais présidentiel, Christophe Siébert

Commentaires

Anonyme a dit…
Merci pour ce texte que je lirai.
Cela permet en effet de beaucoup relativiser nos petites tracasseries de Noël.
On devrait avoir honte parfois de nous plaindre pour si peu.
Gromovar a dit…
Là, en effet, difficile de faire pire Noël que celui-ci.