The End of the World as we Know it - Anthologie The Stand

Il y a des années j’ai lu et apprécié The Stand – même si j’ai un peu allégé ce très (trop) long roman. J’ai ensuite lu l’adaptation BD , ce qui prouve que mon appréciation n’était pas fake. Voilà que sort une anthologie coécrite par certains des bons auteurs du moment. Elle revisite l’univers de The Stand , y retourne, nous en dit plus sur des choses que King n’avait pas trouvé le temps de raconter, nous offre le plaisir coupable de retourner arpenter une terre ravagée. Edité par Christopher Golden et Brian Keene, doté d’une introduction de Stephen King, d’une préface de Christopher Golden et d’une postface de Brian Keene, The End of the World as we Know it rassemble des textes de Wayne Brady et Maurice Broaddus, Poppy Z. Brite, Somer Canon, C. Robert Cargill, Nat Cassidy, V. Castro, Richard Chizmar, S. A. Cosby, Tananarive Due et Steven Barnes, Meg Gardiner, Gabino Iglesias, Jonathan Janz, Alma Katsu, Caroline Kepnes, Michael Koryta, Sarah Langan, Joe R. Lansdale, Tim Lebbon, Josh...

Ce matin, maman a été téléchargée - Gabriel Naej


"Ce matin, maman a été téléchargée" est le premier roman de Gabriel Naej (qu'on connait aussi sous un autre nom). Ca parle de conscience numérisée après la mort.

FUYEZ CE LIVRE !!!
FUYEZ PAUVRES FOUS !!!
Détails dans Bifrost n° 95

Ma chronique ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

Michèle croit avec ferveur en la métempsychose numérique. Elle y aspire fort, si fort qu’elle franchit le pas et s’engage dans une transmigration clandestine. Son fils Raphaël l’aidera à commander incognito un avatar corporel puis le (la) ramènera à la maison. De toute façon, Raphaël habitera toujours là ; à trente-trois ans passés, il n’y a aucune raison qu’il s’installe en ménage avec une autre.
Lui n’est pas tout à fait de cet avis. Mais comment le dire à sa mère ? Il n’y parvient qu’à moitié. Par souci des convenances et par peur du qu’en dira-t-on, il confine sa mère-avatar dans l’appartement familial. Ce qui n’empêche pas celle-ci de s’activer sur les réseaux, de jour comme de nuit, de s’immiscer partout, de tenter par une détermination sans faille d’imposer sa volonté à tous, en particulier à son fils. Excédé, Raphaël décide, dans un ultime geste d’affirmation de lui-même, de fuguer. Au cours de ses pérégrinations, il rencontre Jeanne et s’installe chez elle. Cela ne change rien au comportement de sa mère, au contraire...

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :


Commentaires

Thomas Day a dit…
Toi quand tu veux donner envie, tu sais comment t'y prendre !
Gromovar a dit…
Je le tiens à ta disposition ;)
Baroona a dit…
C'en est intriguant. Encore une technique pour nous pousser à acheter Bifrost ça, c'est vil.
Gromovar a dit…
Tous les moyens sont bons.