C'est l'été, aimable lecteur, et l'été, chez les éditeurs et pour les publications, c'est souvent basses eaux. Ça l'est d'autant plus quand on est lassé de la sainte trinité Grief/Relief/Identity qui constitue aujourd’hui une bonne partie de ce qui est publié. Comme toutes les autres, cette phase passera, mais, très honnêtement, ce lamento d'auteurs qui feraient mieux de fréquenter un psychologue plutôt qu'un traitement de texte m'épuise. C'est donc l'été que, volens nolens , je lis des policiers. Nous y sommes. Il y a quatorze ans de ça (ouch!) j'avais bien apprécié le premier roman d'Oliver Pötzsch, intitulé The Hangman's Daughter (anglo) , La Fille du bourreau (français) et Die Henkerstochter (VO) . J'avais aimé la manière dont Pötzsch se servait d'une enquête criminelle dans un cadre spatio-temporel inhabituel (pour moi en tout cas) pour informer sur certaines des pratiques et habitudes peu ragoutantes dudit cad...
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