Descente - Iain Banks in Bifrost 114

Dans le Bifrost 114 , on trouve un édito dans lequel Olivier Girard – aka THE BOSS – rappelle que, en SF comme ailleurs, un part et un autre arrive. Nécrologies et anniversaires mêlés. Il y rappelle fort justement et pour notre plus grand plaisir que, vainquant le criminel effet de génération, Michael Moorcock et Big Bob Silverberg – les Iguanes de l’Imaginaire – tiennent toujours la rampe. Long live Mike and Bob !! Suivent les rubriques habituelles organisées en actualité et dossier : nouvelles, cahier critique, interview, biographie, analyses, bibliographie exhaustive, philofiction en lieu et place de scientifiction (Roland Lehoucq cédant sa place à Alice Carabédian) . C'est de Iain Banks qu'il est question dans le dossier de ce numéro, on y apprendra que la Culture n’est pas seulement « ce qui reste quand on a tout oublié ». Dans le Bifrost 114 on pourra lire une jolie nouvelle de Iain Banks, intitulée Descente et située dans l’univers de la Culture (il y a des Orbitales)

Tolkien et la Grande Guerre - John Garth


"Tolkien et la Grande Guerre" est une magistrale biographie critique de Jonh Garth, publiée cette année par Christian Bourgois. C'est passionnant mais dru.

Je ne peux en dire plus car ma chronique sera dans le Bifrost n° 76, et elle ne reviendra ici qu’un an après la sortie de la revue (c’est à dire, pfff…).

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

« Être emporté en pleine jeunesse par 1914 n’a pas été une expérience moins abominable qu’en 1939… en 1918, tous mes amis proches, sauf un, étaient morts. »
C’est en ces termes que J.R.R. Tolkien répondait aux critiques qui voyaient dans Le Seigneur des Anneaux une réaction à la Seconde Guerre mondiale. Tolkien et la Grande Guerre nous livre pour la première fois le récit exhaustif de ce qui l’a poussé très jeune à se lancer dans la création de la Terre du Milieu, alors que le monde autour de lui sombrait dans la catastrophe. Puisant dans les papiers personnels de Tolkien, cette biographie essentielle révèle l’horreur et l’héroïsme qu’il a pu connaître en tant qu’officier de transmissions dans la Somme et présente le cercle d’amis intimes qui l’incita à prêter vie à sa mythologie. John Garth montre ici que l’expérience de la Première Guerre mondiale est un élément fondamental de la force pérenne qui émane de la Terre du Milieu.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :



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