L'Oiseau qui boit des larmes - Lee Young-Do

L’Oiseau qui boit des larmes (tome 1, Le Cœur des Nagas) est un roman de Lee Young-Do, premier tome d’une tétralogie de fantasy. Son auteur serait « Le Tolkien coréen » si l’on en croit le sticker apposé sur la couverture. Diable ! Qu’en est-il ? Le monde imaginé par Lee Young-Do est divisé en deux par une Ligne imaginaire. Au sud de celle-ci vivent les Nagas. Ils s’y sont installés non sans violence dans un lointain passé. Au nord on trouve les autres « humains », qu’ils soient Standards, Rekkons, ou Tokkebis. Les Nagas sont petits. Ils ont le corps couvert d’écailles. Ils entendent mal, ce qui fait qu’ils parlent beaucoup moins qu’ils ne nilhent (une forme de communication par la pensée) . Ils voient en revanche très bien, notamment les différences de température. Ils vivent dans une société matriarcale, sous la domination de matrones qui traitent les mâles comme un cheptel reproducteur – à l’exception des Protecteurs qui ont épousé la déesse et la servent dans un...

Filiations


Suite et fin de Daredevil End of Days.

Le crépuscule des idoles y génère un nouvel espoir car, si les héros meurent, l’héroïsme ne meurt jamais. Mais il faudra passer par une purge complète, une remise à zéro de ce qui fut, avant d’entamer un nouveau cycle.

Le tome 2 est donc aussi noir que le précédent. Ben Urich continue son enquête en poursuivant la tournée des anciens ennemis de Daredevil. Le Hibou, le Gladiateur, l’Homme Pourpre, le Punisher sont visités par l’inlassable enquêteur. Même la mémoire de Stick refait surface. Et en dépit des réticences, morceaux par morceaux, la vérité se fait jour, une vérité qui lui brulera les yeux. Mais la quête est accomplie ; les questions trouvent leur réponse, l’histoire est clôturée. D’une manière qui me satisfait pleinement tant j’ai aimé la femme qui ressurgit, à la fin, du passé de Daredevil.

Je ne suis pas plus précis pour ne pas spoiler. Il faudra lire.

Daredevil End of Days, tome 2/2, Bendis et ali.

Commentaires

Xapur a dit…
Un très bel hommage à DD.