La grande muraille de Mars - Alastair Reynolds

La grande Muraille de Mars est la version française du méga recueil d’Alastair Reynolds intitulé en VO  Beyond the Aquila Rift . Dans des traductions de Pierre-Paul Durastanti, Laurent Queyssi et Florence Dolisi, ce sont pas moins de 16 textes (2 de moins que dans la VO) qui s’étalent sur 640 pages. Au fil de ces milliers de signes c’est l’avenir imaginé par Alastair Reynolds qui se dévoile aux yeux ébahis du lecteur amoureux de SF. Car c’est bien de SF qu’il s’agit ici. Toujours. Même quand ça peut ressembler à autre chose. Certains de ces textes appartiennent au Cycle des Inhibiteurs , ce cycle bien connu de notre club qui raconte l’histoire future d’une humanité spatiopérégrine et divergente dont les différentes branches, souvent en conflit armé, se distinguent par leur degré de fusion avec les machines. C’est le cas notamment des deux premiers, La grande muraille de Mars et Zéphyr qui racontent, de transhumanisme en tentative de génocide, les débuts de la divergence et les ...

Radioblogueurs 2012


Taggé par Guillaume, le Traqueur Stellaire, je dois participer à la radio de l’été 2012, sur une idée de Lolobobo.

Pour cela je dois choisir ma chanson de l’été, écrire un billet dessus avec un joli lien, y copier la règle du jeu (c'est fait), y faire un lien vers le billet original, et y désigner trois blogueurs qui devront poursuivre la chaine en suivant les mêmes règles que moi. Je désigne donc Lhisbei, Hugin et/ou Munin et Cédric Jeanneret.

L’été, j’aime pas. Il y fait trop chaud, en extérieur tout n’est que foule, le soleil darde les corps de ses UV cancérigènes, et, bizarrerie ultime, je n’aime guère la mer (qui en est paraît-il l’attrait principal), car comme le chantait Renaud « Les poissons baisent dedans », et comme l’écrivait Lovecraft « I cannot think of the deep sea without shuddering at the nameless things that may at this very moment be crawling and floundering on its slimy bed, worshipping their ancient stone idols and carving their own detestable likenesses on submarine obelisks of water-soaked granite. »

Si j'avais plus aimé le soleil j'aurais sûrement moins lu. Ma chanson de l’été est donc toujours la même. C’est « Holidays in the sun » des Sex Pistols, dont la première phrase est « I don’t wanna holiday in the sun ». Neither do I.

Enjoy !


Commentaires

La Mettrie a dit…
Le Gromovar serait donc une créature cavernicole ?
Gromovar a dit…
Assurément. Albinos et aveugle.
Guillaume44 a dit…
Une très bonne idée de titre pour la radio :)
Gromovar a dit…
Et délicieusement ironique.
lbo a dit…
c'est vrai que c'est un très bon choix merci
Lhisbei a dit…
tu ne peux pas me taguer parce que Lolobobo l'avait déjà fait et que je me suis déjà exécutée le 22. tu dois donc te trouver une nouvelle victime (et oui tu as le droit d'éditer ton billet et de m'agonir d'injures :p)
Gromovar a dit…
Damned. Je suis joué.
lolobobo a dit…
@Lhisbei : tu inventes de nouvelles règles ;)
Efelle a dit…
J'aime bien ton choix et honte à moi, je ne connaissais pas cette chanson.
Gromovar a dit…
Je ne t'enfoncerai pas, mais honte à toi quand même.
Efelle a dit…
Je connaissais le groupe quand même...
Gromovar a dit…
Tu es à demi pardonné alors.