Masha la sans utérus - Raphael Eymery

Je suis surchargé de travail, lecteur. Résultat : des lectures et des chroniques en retard et peu de temps pour rattraper. Alors chroniques courtes, faisons ce qu'on peut dans le temps qu'on a ; as Chaucer said, time and tide wait for no man. Après le décadantiste Pornarina , Raphaël Eymery revient avec Masha la sans-utérus , un roman très noir, réservé par l'éditeur aux adultes. Europe contemporaine. Masha la sans-utérus raconte l'histoire de deux vieux amis. Vieux car se connaissant depuis très longtemps, vieux car tout simplement âgés. Le premier, dont on peut penser un temps qu'il est le personnage principal, se nomme Augustin. Comme ce saint et penseur chrétien qui, après une jeunesse de débauche, devint un ascète de la pire espèce. Comme cet homme qui avait pris le sexe en telle horreur qu’il écrivit «  je suis né dans l'iniquité, et ma mère m'a conçu dans le péché » ainsi que l'inénarrable « c'est entre fèces et urine que nous naissons » . ...

Les blogueurs parlent aux blogueurs : Blopromptu



Cette semaine, je reçois Blopromptu une bibliothécaire pléonasmatique qui veille sur plus de 18000 livres. Rédactrice du blog Impromptu, elle n'a pas aimé Corpus Delicti, ce qui est un signe de bon goût. Elle prête parfois ses livres à Monsieur Blop. D'autres fois elle lui fait passer les couches.



1) Bonjour, peux-tu te présenter en deux mots (tu peux être aussi bref que tu veux…jusqu’au néant)

Blopromptu, « Blop » pour les intimes (c'est le bruit que fait mon cerveau quand je pogote – mais qui pogote encore, de nos jours, je vous le demande?), bibliothécaire de sexe féminin, soit un quasi pléonasme. N'en déplaise à BiblioMan(u).
Je ne dirai pas mon âge exact, car je considère qu'entre deux dates de naissance, on n'a pas d'âge. Je suis plus vieille que Justin Bieber et moins que Liz Taylor. Euh, non, elle est morte.
Bon, moins vieille qu'Angelina Jolie.
Mais de peu.

2) Pourquoi avoir créé un blog ? Est-ce le premier ? Le seul ?

Parce que dans mon boulot, j'avais commencé à rédiger de courts billets de lecture sur papier et que le blog me semblait une bonne manière de diffuser ce travail à un public plus large. Et puis parce que j'avais envie de m'approprier le blog et de partir à la découverte du monde du Web 2.0.
C'est mon premier blog et le seul que j'entretiens. J'en avais commencé un autre, mais c'est trop de boulot.
Je tiens à rendre hommage à Guillaume du Traqueur Stellaire. Il m'a découverte - il ne se souvient même plus comment ! - et m'a ouvert les portes de la blogosphère en général (bonnes adresses, règles tacites de fonctionnement, etc.) et celles de Planète SF en particulier. Je suis née au monde du blog grâce à lui.

3) Combien de temps y consacres-tu ?

Initialement, j'y passais au moins une à deux heures par jour. Maintenant, suite à un événement récent impliquant la gestion de couches zé de biberons, quand c'est deux heures par semaine, c'est déjà bien. Je blogue de façon irrégulière, surtout ces derniers temps. J'espère parvenir prochainement à une plus grande régularité, si ce n'est une plus grande fréquence.

4) Blogues-tu tout ce que tu lis ?

Nan. Quand c'est sans intérêt, c'est sans intérêt.

5) Comment choisis-tu ce dont tu parles sur ton blog ?

Au feeling, à l'impromptu, oserais-je dire.

[oui, c'est censé être drôle].
Ca peut arriver sans crier gare et sur n'importe quoi. Cela dit, cela concerne quand même très souvent des sujets littéraires ou cinématographiques.

6) As-tu déjà lu certains livres simplement parce que tu te disais que ça pourrait faire un article intéressant pour ton blog ?

Non, pas vraiment. Mais si je participe de nouveau à des challenges (j'ai microscopiquement contribué au Winter Time Travel de Lhisbei, pour l'instant) ou à des opérations type Masse critique de Babelio, on pourra dire que ce sera le cas.

7) Depuis combien de temps lis-tu de la SFFF ?

Plus de 15 ans. Pour plus d'infos, voir la question 11.

8) A quel rythme lis-tu ?

Ça dépend du contexte privé et professionnel et du contenu du livre : de 0,2 à 3 livres par semaine, disons.

9) Que trouves-tu dans cette littérature de genre ?

De quoi m'éclater totalement le citron (celui qui fait Blop Blop, rappelez-vous) en toute légalité. Même pas besoin de beuh ou de rails de coke... Le panard, quoi.
Et aussi un moyen de réfléchir aux enjeux sociaux et politiques de notre civilisation qui permet de conserver une distance « indolore » et ludique avec le sujet de la réflexion. Mais il se trouve que c'est une question que j'ai l'intention de développer dans un prochain billet de mon blog. Tu me fais me spoiler moi-même, Gromovar, petit galopin !

10) Partages-tu cette passion avec ton entourage ?

Très peu avec mon entourage privé et encore moins avec mon entourage professionnel. Mais je me bats tous les jours, et je vaincrai.
D'ailleurs, ma mère vient de lire Le vieil homme et la guerre de Scalzi, et elle a aimé. Je vaincrai, vous dis-je !!

11) Quel a été ta première lecture SFFF ? Te souviens-tu de l’occasion qui t’a amené à cette lecture ?

Ouh là. Alors. Heu... Spontanément, j'aurais répondu la novelisation du premier (ou quatrième, selon le point de vue) épisode de StarWars (Un nouvel espoir). C'était un tout petit livre de poche, avec une moche couverture, perdu dans une sorte d'enfer de la bibliothèque municipale (oui, déjà), un coin délaissé et méprisé. Ce n'est certes pas la meilleure littérature de SF du monde, mais je me souviens nettement l'avoir lu trois fois d'affilée, tellement cela m'avait... ébouriffée. Je n'avais jamais entendu parler des films et je ne connaissais pas le space opera.
Ben, ça fait de l'effet, la première fois.
Mais, pour être tout à fait exacte, j'ai lu mon premier livre de SFFF à l'âge de 13 ans, une lecture imposée par mon prof de français : c'était Le voyageur imprudent, de Barjavel. J'avais assez aimé, mais la passion m'est venue avec StarWars, puis la même année, toujours à cause d'un prof de français, de la lecture des Fleurs pour Algernon, de Daniel Keyes. Comme quoi, ces profs, ils servent à quelque chose.

12) Peux-tu nous décrire un (ou plus) grand souvenir de SFFF ?

Dune. Lorsque j'ai lu Dune, j'ai été fascinée par la caste des « sorcières » Bene Gesserit, qui est en réalité une entité politique d'une extraordinaire puissance, animée par des objectifs dont le terme se compte en milliers d'années. J'ai trouvé cela réellement impressionnant. Ainsi que quelques détails étonnants, tels que la musique apparentée à la drogue ou la transformation physique des pilotes interstellaires. Dune reste pour moi une référence absolue en SF, une œuvre qui a la particularité de ne pas vieillir malgré son âge.

13) Quel est le livre qui t’a le plus marqué récemment ? (Répondre sans réfléchir)

Si par « récemment », on a droit à « plusieurs mois », alors je réponds sans hésiter Gagner la guerre, de Jean-Philippe Jaworski. Je l'ai trouvé extraordinaire sous bien des aspects : la langue, le propos... Une révélation.

14) Vers quel genre SF, F, ou F, va ta préférence ? Et pourquoi ?

Je préfère la science-fiction à tout le reste parce que c'est souvent ludique mais jamais gratuit.
Je lis de la fantasy aussi, pour la détente et l'aspect « conte », et un peu de fantastique, mais cela me plaît souvent moins, nonobstant quelques exceptions. L'arrivée inopinée et inexpliquée du surnaturel dans un contexte rationnel me dérange ou m'ennuie, je ne sais pas. Disons que cela heurte mon esprit indécrottablement cartésien.

15) Comment ont évolué tes goûts entre tes débuts en SFFF et aujourd’hui ?

J'ai lu pas mal de fantasy passé un temps, mais ma passion pour la SF est toujours restée intacte tout ce temps. La fantasy est souvent plus facile à lire que la SF, mais moins constructive.

16) Quels sont tes auteurs préférés ? Pourquoi ?

David Weber, pour Honor Harrington en particulier, mais plus généralement pour la rigoureuse cohérence des univers qu'il invente. J'aime également Pierre Bordage pour son écriture au service d'histoires toujours originales. Je ne les aime pas toutes, mais je pense que c'est un très bon auteur. Et puis Tad Williams pour L'arcane des épées : j'ai trouvé qu'il avait fait de la fantasy en réinventant réellement les concepts tirés des classiques (le troll n'y est pas une montagne de muscle grise et sans cervelle, par exemple).

17) Y a-t-il des livres que tu regrettes d’avoir lu (temps perdu) ? D’autres que tu aurais regretté de ne pas voir lus ?

De ne pas avoir lu, bien sûr. Je n'ai pas assez de temps pour lire tout ce que je voudrais lire. Regretter d'avoir lu, pas vraiment. Quand c'est sans intérêt, j'oublie, un point c'est tout.

18) Y a-t-il des auteurs dont tu lis tout (ou voudrait pouvoir tout lire) ?

David Weber. Pour les raisons citées plus haut. Je ne suis pas loin d'avoir tout lu.

19) Vas-tu voir les auteurs sur les salons ? Ramènes-tu des interviews, des photos, des dédicaces ?

Nan. Je suis comme d'autres blogueurs(euses) interviewé(e)s, je me sens mal à l'aise avec les auteurs. J'ai beaucoup de mal à gérer en même temps mon sentiment pour leurs oeuvres (admiration - ou désamour...) et ma conviction que ce sont des gens comme les autres.
Les dédicaces ne m'émeuvent pas particulièrement. Je préfèrerais sans doute une bonne discussion autour d’un bon bourgogne, mais dans les salons, c'est difficile de passer la phase superficielle dans les conversations – et de trouver du bon bourgogne.

20) Que penses-tu de la bit-lit ? Et de Harry Potter ? (je crois que ces deux questions étaient indispensables ;-)

LA question que j'attendais !!!!!
Je n'ai rien lu d'autre en bit-lit que la tétralogie Fascination-Tentation-Hésitation-Révélation de Stephenie Meyer. Et figure-toi, cher Gromovar, que j'ai totalement accroché. Il faut dire que j'ai lu le premier volume à un moment où personne ne le connaissait, soit l'année de sa sortie. J'ai donc profité de l'œuvre sans aucun a priori. C'est gentillet, certes, mais l'humour plutôt noir de l'héroïne me faisait franchement marrer et les caractéristiques non conventionnelles des vampires m'ont plu par leur nouveauté (aujourd’hui toute relative).

Harry Potter est également un petit chouchou, car je l'ai connu dans les mêmes circonstances, avant le tapage médiatique qui a présidé à la sortie du 4e opus en grand format (initialement, les 3 premiers volumes étaient directement sortis en poche, chez folio, de façon très discrète). J'ai donc dévoré les premiers tomes sans personne pour me dire ce que je devais en penser, et j'ai trouvé cela sincèrement réussi. Bien entendu, la série est inégale : j'ai adoré le 3e et trouvé le 5e et le 7e moins bons. Mais cela reste de la très bonne littérature pour la jeunesse et j'encourage régulièrement les personnes saturées par les produits dérivés à lire les livres.

Je dois également rendre à César ce qui est à César : j'ai lu les livres de J.K. Rowling et S. Meyer parce que deux ados défricheurs me les avaient fourrés dans les pattes, alors qu'ils étaient eux-même très jeunes (14 et 15 ans). Merci donc à Amandine et Clément-Louis.

21) Tes fournisseurs : librairies, bouquinistes, Internet ?

Dans l'ordre d'importance : ma bibliothèque (vu que c'est moi qui achète les livres...), Internet, les librairies... et les copains. Ne négligeons pas les copains, c'est comme ça que j'ai découvert Robin Hobb et son Assassin royal.

22) BD, comics, ou non ?

Bd et mangas, oui. De toute façon, dans mon boulot, je gère aussi les BD, alors ça aide. Et puis j'ai un libraire BD très convaincant. J'aime beaucoup Léo (Aldébaran et les suites).

23) Lis-tu aussi de la littérature « blanche » ? Si oui, qui aimes-tu particulièrement dans ce « genre » ?

Oui, bien sûr. J'aime Amin Maalouf (à peu près tout ce qu’il a écrit), Martin Winckler (pour Le chœur des femmes en particulier), Daniel Pennac, Timothée de Fombelle (jeunesse), Robert McCammon, Alexandre Dumas (père).
Et même Diana Gabaldon, pour son premier roman Le Chardon et le tartan. Si vous ne l'avez jamais lu, commandez-le pour cet été, il est très divertissant (peut-être est-il marqué en termes de genre – masculin / féminin, pas littéraire. Il plairait sans doute plus aux filles, mais je l’ai fait lire à M. Blop, qui l’a beaucoup aimé).
Il y en a d'autres, bien d'autres, mais leurs noms ne me reviennent pas là tout de suite.

24) Tentative de Weltanschauung : qu’aimes-tu comme musique ? Comme cinéma ? Quel est ton loisir favori ? Qui est ton philosophe de prédilection ?

Musique : la musique ancienne et baroque, Purcell, Vivaldi, Bach, Monteverdi, le Libre Vermell de Montserrat... Je vous conseille le Nisi Dominus de Vivaldi par Jean-Christophe Spinosi, Philippe Jarousski et l'ensemble Mattheus. C'est à tomber par terre.
Cinéma : les films de SF, et de préférence les gros blockbusters bien stupides. Ca me détend. Will Smith dans Independance Day qui balance une mandale à un alien et qui dit : « ça, c’est ce que j’appelle une rencontre du troisième type », ça me fait hurler de rire.
Si.
Et j’avais pris mes médicaments.
Loisir : chanter (je chante depuis 12 ans dans divers ensembles vocaux) et dévorer les séries télé en streaming. J'en suis à la saison 8 de NCIS, la saison 2 de Stargate Universe et de V (2009), à la saison 6 de Dr House et 3 de Battlestar Galactica (oui, je sais, là je suis à la traîne). J'ai déjà torché toutes les saisons de Stargate SG1 et de True Blood.
Philosophe : le mec qui a dit, mais je ne connais pas son nom : « Ne prenez pas la vie trop au sérieux. De toute façon, vous n'en sortirez pas vivant. »

25) As-tu un Reader ?

Non.

26) As-tu déjà lu en numérique, même sur moniteur ?

Un peu, mais très peu. J'hésite justement à investir dans un reader pour m'y mettre pour de vrai. La lecture sur moniteur est vraiment épuisante.

27) Quel est ton rapport à la lecture numérique ? Penses-tu lire plus sous cette forme dans un proche avenir ?

Rapport encore peu développé car je trouve les outils encore un peu sommaires, mais je suis favorable. Je suis plus attachée au contenu qu'au contenant. Je pense donc lire plus souvent sous cette forme à l'avenir.

28) Quel est ton rapport à Internet ? Connecté depuis longtemps ?

Première connexion, février 1998, au Canada, où j'avais ouvert mon premier compte de messagerie. Un moment d'intense émotion ; je ne savais pas où cela me mènerait.
Ma connexion quotidienne au Web date de 2002 ; depuis, je n'ai jamais décroché. A la maternité, j’étais grave en manque de Web, alors que je me fichais de la télé et même des bouquins. C’est dire.

29) As-tu un lien avec le monde de l’édition ? Ou du livre plus généralement ?

De l'édition, pas spécifiquement. Mais comme j'ai 18 000 bouquins à gérer quotidiennement, je crois qu'on peut appeler cela « avoir un lien avec le monde du livre ». ;-D

30) Une dernière chose à dire au lectorat en délire ?

Vous zêtes bien aimable d’avoir lu jusqu’au bout. A moins que vous ne ronfliez depuis déjà un moment...





Merci de votre attention. Et n'oubliez pas ! Duck ! And cover !

Commentaires

arutha a dit…
J'aurais pu moi-même répondre Dune à la 12. Même si ma seconde lecture m'a moins emballé, je suis obligé de reconnaitre que la première a juste été la claque du moment dont je ne me suis pas remis tout de suite.
Cedric Jeanneret a dit…
je proteste on peut apprécier Corpus Delicti et avoir bon goût !
Guillaume44 a dit…
Bigre, j'ignorais que je formais des blogueurs désormais ! J'ai peut-être trouvé un métier potentiel :)
Efelle a dit…
Tu portes bien ton surnom Guillaume !

Une interview sympathique.
Pfff bosser au milieu de 18 000 livres, je suis jaloux. :)
Lhisbei a dit…
Dune m'avait bluffée aussi pour la même raison :)
donc après avoir remercié Gromovar on va remercier aussi Guillaume le dénicheur de blogueurs... :)
Unknown a dit…
Je viendrai bien dans ta bibliothèque ! rien que pour le choix de tes livres et le bon bourgogne que l'on pourrait boire à la santé des auteurs que l'on arrivera, jamais ?, à interviewer ;-)
Tigger Lilly a dit…
J'aime beaucoup quand tu traites gromovar de petit galopin :p
lael a dit…
Je crois que la citation est de coluche ;)

"Tad Williams pour L'arcane des épées : j'ai trouvé qu'il avait fait de la fantasy en réinventant réellement les concepts tirés des classiques (le troll n'y est pas une montagne de muscle grise et sans cervelle, par exemple)."
-> tu connais le disque monde de Pratchett ? en parlant renouvellement des clichés, c'est jouissif XD
publivore a dit…
@lael :
Reste que chez Pratchett, les trolls sont des "montagne de muscle grise et sans cervelle" justement ! :P
shaya a dit…
Han, quelqu'un qui a lu "L'arcane des épées" ! Etrangement j'ai du mal à trouver des gens qui ont cette saga, que j'ai adoré adolescente ^^
Blop a dit…
Ca y est, j'ai retrouvé une connexion (une semaine sans, non mais, vous imaginez ?)
@Efelle : y a de quoi être jaloux... Sauf qu'il n'y a pas assez de SFFF, mais à moins que vous ne veniez monter un club de fan de SFFF dans ma bibliothèque, je ne peux pas le développer plus.
@Cedric Jeanneret : c'est pas moi qui l'ai dit, c'est Gromovar.
@Guillaume : tu es un prof qui s'ignore... Laisse tomber la biologie marine !!
@Shaya : nous sommes donc au moins deux. On va y arriver.
@Lael : merci de m'avoir retrouvé l'auteur de la citation. un philosophe, donc. Je connais un peu Pratchett... et jusqu'ici, je n'ai pas accroché. Aïe, non, pas taper !
@ Val : avec plaisir !! J'ai du Vosne-Romanée dans mes bagages !
@Tigger Lilly : je suis sûre que ça lui va bien !
@ Arutha et lhisbei : Dune reste une référence pour moi, malgré de nombreuses relectures.
Blop a dit…
Et enfin : merci à Gromovar le Petit Galopin de son interview. Continue, c'est vraiment intéressant.
El Jc a dit…
Ah déguster Dune avec un bon bordeaux, nous sommes fait pour nous entendre. Guillaume félicitation, voici une recrue de choc ;o)
BiblioMan(u) a dit…
Je n'ai absolument rien contre les bibliothécaires féminins ! J'en côtoie un tas, des pros de chez pro et des plus sympathiques qui plus est ! Bon, dis-moi où tu bosses, je viendrai te présenter des excuses de vives voix pour cette méprise de langage qui me poursuit ;O)))
Blop a dit…
@ BiblioMan(u) : Meuh non, ch't'en veux pas. Tu verras, un jour, on boira un p'tit bourgogne ensemble (je suis également sensible aux côtes du Rhône, aux Beaujolais - il y en a des très bons, si, si ! - et aux Bordeaux, ainsi qu'à certains petits vins blancs Néo-Zélandais pas mauvais du tout).