La grande muraille de Mars - Alastair Reynolds

La grande Muraille de Mars est la version française du méga recueil d’Alastair Reynolds intitulé en VO  Beyond the Aquila Rift . Dans des traductions de Pierre-Paul Durastanti, Laurent Queyssi et Florence Dolisi, ce sont pas moins de 16 textes (2 de moins que dans la VO) qui s’étalent sur 640 pages. Au fil de ces milliers de signes c’est l’avenir imaginé par Alastair Reynolds qui se dévoile aux yeux ébahis du lecteur amoureux de SF. Car c’est bien de SF qu’il s’agit ici. Toujours. Même quand ça peut ressembler à autre chose. Certains de ces textes appartiennent au Cycle des Inhibiteurs , ce cycle bien connu de notre club qui raconte l’histoire future d’une humanité spatiopérégrine et divergente dont les différentes branches, souvent en conflit armé, se distinguent par leur degré de fusion avec les machines. C’est le cas notamment des deux premiers, La grande muraille de Mars et Zéphyr qui racontent, de transhumanisme en tentative de génocide, les débuts de la divergence et les ...

Scream for me Long Beach !


J'adore les grèves. Je lis, je poste, je fais ce que devrait faire tout honnête homme : apprendre. Aujourd'hui donc grève dans l'Education Nationale contre les suppressions de poste. Je suis par principe pour la grève car avec les effectifs à 35 qui sont la norme il n'est pas possible de travailler, comme le pointait déjà mon ami Maestro qui ne partait jamais enseigner l'Histoire sans dire "Allons faire nos petites inutilités", et comme l'a mesuré Thomas Piketty dans une étude célèbre car brillante sur l'effet de la taille des classes. Je suis d'autant plus pour celle-ci que mon poste est supprimé. Sic transit gloria mundi.
Bref, tout ça pour dire que j'ai regardé cet après-midi l'un des meilleurs concerts rock jamais filmé, et peut-être le meilleur concert métal : Iron Maiden au Long Beach Arena en 1985 durant le World Slavery Tour, enfin disponible en DVD comme on dit dans les pubs radio. La puissance, l'énergie, le talent à l'état pur, et un plaisir d'être sur scène qui traverse l'écran font de ce concert un moment de plaisir intense. Le remix 5.1 est impeccable et le tournage en 35 mm donne un feeling cinéma rare aujourd'hui où tout est fait en vidéo.
Du coup je vais les voir à Bercy en juillet. Si certains d'entre vous commandent des places, laissez en deux pour mon Paul et moi. Merci.



Live after Death, Iron Maiden

Commentaires