La Cité des marches - Robert Jackson Bennett

Bulikov, la capitale du Continent. Autrefois une ville grande et puissante, le centre du monde. Aujourd’hui une ville conquise, en partie détruite. Rome après Alaric. Kind of. Dans le monde de La Cité des marches , dernier roman traduit en français de Robert Jackson Bennett et premier volume de le trilogie des Cités divines , il y a le Continent et le reste – ce centre-périphérie théorisé au XIV siècle par le grand historien arabe Ibn Khaldoun . Et, comme dans l’analyse de ce dernier, la périphérie a fini par conquérir le centre, en l’occurrence le Continent ; rien d’étonnant, ce n’est qu’à la périphérie que résident la force et la détermination nécessaires à la guerre. Concrètement, c’est une révolte conduite avec succès il y a plusieurs décennies par le Kaj qui a abattu l’empire continental et ses dieux. La chute des uns entrainant celle de l'autre. Car tu dois le savoir, lecteur, le pouvoir sans égal du Continent était le fruit des « miracles » de ses six dieux, incarnés dans le

Fluctuat nec mergitur



QUIZZ : C'est quoi cette chose ?

REPONSE : Cellule de Reed-Sternberg, grande cellule de 50µ de diamètre à noyau bilobé avec une chromatine finement réticulée et des nucléoles volumineux et basophiles donnant un aspect en « masque de carnaval » ou « œil de hibou ». Il peut s’agir de cellules de Hodgkin qui sont les précurseurs de la cellule de Reed-Sterberg et ressemblent à de grands immunoblastes au noyau monolobé avec un volumineux nucléole.

J'en ai eu plein dans le corps. Je n'en ai plus aucune. C'est officiel depuis jeudi.
Gromovar 1 - Hodgkin 0

Commentaires

Anonyme a dit…
La bise à Gromovar.
Gromovar a dit…
Shot them one by one ;-)