La Nuit ravagée - Jean-Baptiste Del Amo

Milieu des années 90, Saint-Auch (une petite ville résidentielle non loin de Toulouse) , entre les lotissements des Acacias et des Genêts. Alex, Max, Mehdi et Tom sont quatre copains d'enfance auxquels vient de s'adjoindre Léna, qui arrive de Montauban. Les cinq vivent la vie des lycéens de l'époque, et même si Léna, nouvelle venue, est à la fois plus proche de Mehdi que des trois autres et de surcroît une fille, la bande s'entend bien et partage à peu près tout. Ils traînent leurs espérances – qui à défaut d'être grandes ont au moins le mérite d'exister – entre les pavillons de leurs parents, le lycée Melville, et les serres désaffectées dont ils ont fait leur base. Une vie sans originalité ni aspérité, c'est ce qui caractérise le quotidien des cinq amis, de leurs familles et de leur voisinage. Mais à Saint-Auch, un lycéen est mort récemment dans des conditions qu'on dit étranges, et il y a, aux Genêts, cette maison abandonnée au bout de l’impasse des O...

Lecture de Volna par Christophe Siébert

Hier, 13 septembre - veille de la première Journée Annuelle du Sport décrétée par notre commémorateur en chef afin qu'après avoir dû supporter musiciens amateurs et plateaux convenus de la télé publique une fois par an depuis des décennies nous soyons dorénavant contraints à faire de même, à une autre date, pour des sportifs amateurs vibrionnant dans des bacs à sable improvisés et des célébrités belles et bonnes défilant sur France Télévision -, hier donc, dans un tout autre registre, Marie Debilly Cerisier lisait de la poésie à la libraire L'hydre aux mille têtes. Et c'était fort.

Après ce moment de poésie, c'est Christophe Siébert qui a lu de longs passages de son dernier roman, Volna. L'un comme l'autre était accompagnés par l'ambiance musicale de Mauricio Amarante qui ajoutait un contexte glaçant aux lectures. Qu'il en soit remercié !

Ci-dessous donc, deux courts moments de lecture, où l'on voit que, jusqu'à Mertvecgorod, le grand Michaël Moorcok a posé son empreinte.



Voilà, ce fut une grande soirée, glaçante et captivante. Ne rate pas la prochaine, lecteur.

Commentaires

Roffi a dit…
Faudrait que j’aille plus souvent sur leur Facebook .J’ai raté une autrice mexicaine Dahlia De La Cerda en juin.Merci pour ce rappel.