La Nuit ravagée - Jean-Baptiste Del Amo

Milieu des années 90, Saint-Auch (une petite ville résidentielle non loin de Toulouse) , entre les lotissements des Acacias et des Genêts. Alex, Max, Mehdi et Tom sont quatre copains d'enfance auxquels vient de s'adjoindre Léna, qui arrive de Montauban. Les cinq vivent la vie des lycéens de l'époque, et même si Léna, nouvelle venue, est à la fois plus proche de Mehdi que des trois autres et de surcroît une fille, la bande s'entend bien et partage à peu près tout. Ils traînent leurs espérances – qui à défaut d'être grandes ont au moins le mérite d'exister – entre les pavillons de leurs parents, le lycée Melville, et les serres désaffectées dont ils ont fait leur base. Une vie sans originalité ni aspérité, c'est ce qui caractérise le quotidien des cinq amis, de leurs familles et de leur voisinage. Mais à Saint-Auch, un lycéen est mort récemment dans des conditions qu'on dit étranges, et il y a, aux Genêts, cette maison abandonnée au bout de l’impasse des O...

Utopiales 2023 : more than ever

Les Utopiales 2023, c'est fini.

Plus de 140000 participants, plus de 100 intervenants, 120 conférences, 314 séances de dédicace, 10 expos, 85 séances de cinéma. Et les jeux. Et la plus grande librairie SF of the world.


On y a vu les amis, nombreux. Toujours pour trop peu de temps. On y a bu des coups au Bar de Mme Spock. On y a même parlé, un peu, avec les Quarante-Deux.

On y a assisté à des conférences de grande qualité (parlons Tristan Garcia ou Chen Qiufan entre autres). Et on y a croisé la flamboyance de la presse Imaginaire.

On y a vu Kim Stanley Robinson, venu présenter Le Ministère du Futur, un vrai livre d'Honnête Homme, et Nicolas Martin, et aussi Kim Stanley Robinson avec Nicolas Martin.

On y a parlé avec grand plaisir aux deux ladys sombres, Mariana Enriquez et Morgane Caussarieu.

On y a remis le trophée du PSF 2023 aux sympathiques éditeurs du Pays sans Lune.

On y a félicité Audrey Pleynet pour le Prix Utopiales que lui a valu sa novella Rossignol.

On a surtout réussi à prendre le même train que Pascal Godbillon et à pourtant arriver à l'heure à destination.

Commentaires

MiSs DeViL a dit…
Ca a l'air top, j'espère pouvoir m'y rendre un jour !