La Cité des marches - Robert Jackson Bennett

Bulikov, la capitale du Continent. Autrefois une ville grande et puissante, le centre du monde. Aujourd’hui une ville conquise, en partie détruite. Rome après Alaric. Kind of. Dans le monde de La Cité des marches , dernier roman traduit en français de Robert Jackson Bennett et premier volume de le trilogie des Cités divines , il y a le Continent et le reste – ce centre-périphérie théorisé au XIV siècle par le grand historien arabe Ibn Khaldoun . Et, comme dans l’analyse de ce dernier, la périphérie a fini par conquérir le centre, en l’occurrence le Continent ; rien d’étonnant, ce n’est qu’à la périphérie que résident la force et la détermination nécessaires à la guerre. Concrètement, c’est une révolte conduite avec succès il y a plusieurs décennies par le Kaj qui a abattu l’empire continental et ses dieux. La chute des uns entrainant celle de l'autre. Car tu dois le savoir, lecteur, le pouvoir sans égal du Continent était le fruit des « miracles » de ses six dieux, incarnés dans le

Bradbury/Matheson : Conversation avec deux légendes


Dans ce petit ouvrage numérique édité par ActuSF, Matheson raconte Matheson (et au début Bradbury parle un peu aussi, mais là c'est pour Matheson que je suis venu). C'est passionnant et j'en livrerai la substantifique moelle dans le Bifrost n° 86.

Je ne peux en dire plus.

Je peux au moins donner le résumé de la couv’ car celui-ci est disponible partout :

On ne présente plus Ray Bradbury et Richard Matheson, deux légendes de la science-fiction américaine, qui nous ont quittés respectivement en 2012 et 2013. On leur doit des chefs-d'œuvre comme Fahrenheit 451, Les chroniques martiennes ou encore Je suis une légende.
Dans Bradbury/Matheson : conversation avec deux légendes, Dennis Etchison nous offre une discussion à bâtons rompus avec ces deux monstres de la littérature, livrée sans censure ni retouches. Ray Bradbury s'y confie pour la première fois librement sur son expérience avec Hollywood et son amour de l'écriture, tandis que Richard Matheson nous offre une rétrospective personnelle et définitive sur sa fructueuse carrière.

Voila. Rien de plus. Sinon voici ce qui m'attend :

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