La Cité des marches - Robert Jackson Bennett

Bulikov, la capitale du Continent. Autrefois une ville grande et puissante, le centre du monde. Aujourd’hui une ville conquise, en partie détruite. Rome après Alaric. Kind of. Dans le monde de La Cité des marches , dernier roman traduit en français de Robert Jackson Bennett et premier volume de le trilogie des Cités divines , il y a le Continent et le reste – ce centre-périphérie théorisé au XIV siècle par le grand historien arabe Ibn Khaldoun . Et, comme dans l’analyse de ce dernier, la périphérie a fini par conquérir le centre, en l’occurrence le Continent ; rien d’étonnant, ce n’est qu’à la périphérie que résident la force et la détermination nécessaires à la guerre. Concrètement, c’est une révolte conduite avec succès il y a plusieurs décennies par le Kaj qui a abattu l’empire continental et ses dieux. La chute des uns entrainant celle de l'autre. Car tu dois le savoir, lecteur, le pouvoir sans égal du Continent était le fruit des « miracles » de ses six dieux, incarnés dans le

Les Misérables : une bonne surprise (chronique sponsorisée par Kleenex)


Ce qu’en dit l’éditeur :
L'action se déroule en France au cours du premier tiers du XIXe siècle, entre la bataille de Waterloo (1815) et les émeutes de juin 1832. On y suit, sur cinq tomes, la vie de Jean Valjean, de sa sortie du bagne jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent les personnages, dont certains vont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine, Azelma et Gavroche) ainsi que le représentant de la loi, Javert.

Ce que j’en pense moi :
D’abord, une mise au point. Quand Jules Rouff Editions a proposé de recevoir « Les Misérables » à domicile, au début j’ai hésité. Les Misérables, ça donne guère envie, des embêtements, on en a déjà assez dans la vie, non ? Et puis Hugo, ça me rappele Ugo, le chien des voisins, qui passe sont temps à me casser les oreilles.
Mais vous me connaissez, je suis pas peureux. Une Bud, un rat sur les genoux, les copains sur Twitter, et rien ne me fait peur.
Alors, vous pensez bien que j’ai sauter sur l’occasion. Je suis français, alors le misérabilisme social c’est ma passion. Surtout que j’avais bien aimé les Miséroïdes, la version du livre qu’avaient réalisé les Inconnus. Bon, oui, c’est un sacré pavé, mais la couverture est super jolie. Déjà, le style noir et blanc montre bien que c’est ancien et puis, cette petite Cosette qui porte un seau plus gros qu’elle, ça montre bien que les temps ne change pas (indice : penser aux cartables des boud’choux) - contrairement à ce que croyait Bob Dylan.

Bon alors, honnêtement, il faut supporter les Thénardier. Moi, j’en aurai bien pris un pour tapé sur l’autre. Et Javert le policier !!! Alors lui !!! Tête dure !!! Il veut jamais croire que Jean Valjean est devenu quelqu’un de bien (et encore, on est mal parce qu’on a volé un pain c’est ça ???). Pourtant, il aide bien Fantine, alors... Mais je crois que c’est pour bien montré que la justice est aveugle et qu’il vaut mieux être humain. Je crois. Faudra que je le relise un jour pour être sûr.

Bon, ya aussi de l’action, pour les amateurs. Prise d’otage, police, toussa. Si on avait peur de s’nneueyr, plus d’inquiétude. Faut juste tenir jusqu’au moment où ça arrive (tome 3 quand même !!!), il était pas obligé de nous faire attendre autant le petit père Hugo.
En tout cas il décrit très bien le Moyen-Age, on s’y croirait.

Et puis je sais pas vous, mais moi, quand je vois tout ce qui arrive à cette pauvre petite Cosette, je suis bien content de voir que tout finit par s’arranger et même mieux ‘wink wink’. Bon, je vous dit pas, je vais pas faire le spoiler de série ‘grrrr’, mais je peux vous dire que ça va bien tourné pour Cosette, et honnêtement, il était temps.

Bon, même si l’histoire est un peu vieille et qu’ils sont pas très modernes tous ces gens, c’est quand même pas ennuyant. C’est de l’aventure, beaucoup d’émotion, et on apprend plein de choses aussi sur les temps anciens qui n’étaient pas si facile qu’on croit.

Donc merci beaucoup à Jules Rouff et à ses associés qui m’ont permi de lire un bon livre, bon inquiétant au début à cause du titre et du noir et blanc, mais finalement pas mal du tout et très instructif.

Mon avis :  GOLDEN STAR

Commentaires

Xapur a dit…
Ouai, ssa a l'air tro bi1, mai les livre c tro dur a lire, y a pas assé d'imaje !
Maëlig a dit…
Petit parfum de http://bolossdesbelleslettres.tumblr.com/post/51792660362/les-miserables-victor-hugo
Gromovar a dit…
A lire aussi en effet, pour avoir une vision plus complète ;)
Lhisbei a dit…
Pourquoi Kleenex et pas Lotus hein ? Lotus est plus diversifié et a l'avantage de proposer sur certains produits du x6, x12 ou x24. Kleenex est trop spécialisé
:p
Gromovar a dit…
Merci pour toutes ces précisions dont je ne manquerai pas de faire bon usage à l'avenir.
Bat Zena a dit…
Je te conseille vivement Notre-Dame de Paris alors ;) mon livre préféré de tous les temps et ô combien plus émouvant encore que les Misérables (oui, oui).

Ce Hugo était un génie et malheureusement ses textes sont toujours un peu trop d'actualité, car on n'évolue jamais !
Gromovar a dit…
Je n'y manquerai pas.
Lorhkan a dit…
Du grand art, bravo ! :D
Baroona a dit…
lol gé rin conpri mai c tro coule, t le mailleur et tu mfé rir, continu !!!!! lol
Tigger Lilly a dit…
Quatre-vingt-treize se laisse lire aussi ^^
Gromovar a dit…
C'est un truc qui se passe dans le 9-3 ?