Horizons obliques - Richard Blake

Sortie demain de Horizons obliques , un one-shot SF de Richard Blake. Il y a des années que Jacob et Elena Armlen se sont perdus dans une dimension parallèle qu'ils tentaient de cartographier. Depuis aussi longtemps Adley, leur fille, veut les retrouver. Après un long entrainement elle part donc en quête de parents depuis trop longtemps absents, à travers des mondes incroyables, avec l'aide de ses grands-parents, d'un impressionnant appareillage technologique de voyage transdimensionnel, de ses dons de prescience, et d'un robot humanoïde nommé Staden. Si le scénario, plutôt contemplatif, pourra désarçonner certains lecteurs, on ne peut qu'être impressionné par la beauté envoutante des planches réalisées intégralement par un auteur qui est peintre avant d'être bédéaste (et dont c'est le premier album) . Dès la première page représentant un rêve d'Adley portant un ours polaire sur son dos on est saisi par le style et la qualité graphique de l'album. L&

We'll meet again (or not)


Parce que c'est le meilleur film du monde (avec Full Metal Jacket).
Parce que c'est l'une des plus belles scènes du monde.
Parce que c'est la meilleure fin de film du monde.
Parce que c'est approprié.

"We'll meet again" (Vera Lynn), fin de Dr Strangelove
(dont le titre complet, approprié aussi, est : How I stopped worrying and learned to love the Bomb)

Commentaires

Efelle a dit…
Ka boom ! J'aime beaucoup aussi.

Les Fallout ont empruntés l'ambiance sonore de ce final pour leurs intros, non ?
Mouais, pas sûr qu'une fin atomique soit la meilleure.
Gromovar a dit…
@ Efelle : J'en ai des frissons à chaque fois. Oui pour les Fallout

@ Loic : Je voulais dire la meilleure fin de film :)
Guillmot a dit…
"The End of Evangelion" fait une belle B.O. également.
Gromovar a dit…
Faut que j'aille voir.