La Cité des marches - Robert Jackson Bennett

Bulikov, la capitale du Continent. Autrefois une ville grande et puissante, le centre du monde. Aujourd’hui une ville conquise, en partie détruite. Rome après Alaric. Kind of. Dans le monde de La Cité des marches , dernier roman traduit en français de Robert Jackson Bennett et premier volume de le trilogie des Cités divines , il y a le Continent et le reste – ce centre-périphérie théorisé au XIV siècle par le grand historien arabe Ibn Khaldoun . Et, comme dans l’analyse de ce dernier, la périphérie a fini par conquérir le centre, en l’occurrence le Continent ; rien d’étonnant, ce n’est qu’à la périphérie que résident la force et la détermination nécessaires à la guerre. Concrètement, c’est une révolte conduite avec succès il y a plusieurs décennies par le Kaj qui a abattu l’empire continental et ses dieux. La chute des uns entrainant celle de l'autre. Car tu dois le savoir, lecteur, le pouvoir sans égal du Continent était le fruit des « miracles » de ses six dieux, incarnés dans le

Heurts et malheurs du couple


J'avais dit tout le bien que je pensais du dernier recueil de nouvelles du maitre de l'horreur US dans cette chronique. Je persiste, signe, et conseille vivement la version française à ceux qui n'aiment pas lire l'anglais. C'est du très bon.
Nuit noire, étoiles mortes, Stephen King

Commentaires

Tigger Lilly a dit…
Tu as lu "Tout est fatal" ? C'est le dernier recueil de nouvelles de King que j'ai lu et j'en garde un très très bon souvenir. Est ce que le monsieur n'aurait pas tendance à bonifier avec le temps quand il s'agit des nouvelles, au contraire de ses romans ?
Gromovar a dit…
Pas lu, mais je vais y jeter un oeil.
Xapur a dit…
J'ai un peu le même avis, King n'est jamais aussi bon que quand il fait court - enfin, j'ai arrêté de le lire depuis un moment à cause de sa tendance à pondre des pavés !
Gromovar a dit…
Pareil. Le dernier roman que j'ai lu c'est Cellular, intégralement en diagonale, c'était bien comme ça.