La Cité des marches - Robert Jackson Bennett

Bulikov, la capitale du Continent. Autrefois une ville grande et puissante, le centre du monde. Aujourd’hui une ville conquise, en partie détruite. Rome après Alaric. Kind of. Dans le monde de La Cité des marches , dernier roman traduit en français de Robert Jackson Bennett et premier volume de le trilogie des Cités divines , il y a le Continent et le reste – ce centre-périphérie théorisé au XIV siècle par le grand historien arabe Ibn Khaldoun . Et, comme dans l’analyse de ce dernier, la périphérie a fini par conquérir le centre, en l’occurrence le Continent ; rien d’étonnant, ce n’est qu’à la périphérie que résident la force et la détermination nécessaires à la guerre. Concrètement, c’est une révolte conduite avec succès il y a plusieurs décennies par le Kaj qui a abattu l’empire continental et ses dieux. La chute des uns entrainant celle de l'autre. Car tu dois le savoir, lecteur, le pouvoir sans égal du Continent était le fruit des « miracles » de ses six dieux, incarnés dans le

My bloody Valentine

"...by the time you're about 29 you got two kids, and you just wanna commit suicide.” Johnny Rotten

"Pourquoi attendre ?"  Gromovar

Sid, Nancy (Valentines)



Commentaires

Acr0 a dit…
J'ai honte, je sais que c'est un film mais je ne sais pas si c'est basé sur des "faits réels"
Gromovar a dit…
Ça c'est les vrais images des vrais Sid et Nancy.
Efelle a dit…
Ah ! Je viens de percuter c'est la Saint Valentin...
Gromovar a dit…
Ca me paraissait clair pourtant ;-)
Efelle a dit…
C'est le truc qui me passe très loin au dessus de la tête, à un niveau stratosphérique. L'anniversaire de mon épouse tombe la veille...