Horizons obliques - Richard Blake

Sortie demain de Horizons obliques , un one-shot SF de Richard Blake. Il y a des années que Jacob et Elena Armlen se sont perdus dans une dimension parallèle qu'ils tentaient de cartographier. Depuis aussi longtemps Adley, leur fille, veut les retrouver. Après un long entrainement elle part donc en quête de parents depuis trop longtemps absents, à travers des mondes incroyables, avec l'aide de ses grands-parents, d'un impressionnant appareillage technologique de voyage transdimensionnel, de ses dons de prescience, et d'un robot humanoïde nommé Staden. Si le scénario, plutôt contemplatif, pourra désarçonner certains lecteurs, on ne peut qu'être impressionné par la beauté envoutante des planches réalisées intégralement par un auteur qui est peintre avant d'être bédéaste (et dont c'est le premier album) . Dès la première page représentant un rêve d'Adley portant un ours polaire sur son dos on est saisi par le style et la qualité graphique de l'album. L&

BOF


Graphiquement contestable (trop flashy, et contrasté en dépit du bon sens), doté d'une histoire rapidement ennuyeuse, "RIP M.D.", qui raconte les aventures d'un jeune garçon qui se fait ami avec des monstres, les aide à régler leurs problèmes, et doit combattre deux enfants jaloux qui lui veulent du mal, est un épisode de Scoubidou raté sur papier.
Il manque de la profondeur aux personnages, une logique à l'histoire, et simplement une aventure intéressante.
A éviter. Sauf peut-être pour des adolescents qui joueraient à s'identifier à ce jeune ami des créatures de la nuit. Moi, j'ai passé l'âge.
RIP M.D. Schauer, Lessa

Commentaires

LolaEtc a dit…
Ah tiens, je ne sais plus où je l'ai feuilleté celui-là, mais j'en suis arrivée à la même conclusion. Graphisme + couleurs ont été rédhibitoires.
Gromovar a dit…
Que ne l'ai-je feuilleté avec toi :-)