Descente - Iain Banks in Bifrost 114

Dans le Bifrost 114 , on trouve un édito dans lequel Olivier Girard – aka THE BOSS – rappelle que, en SF comme ailleurs, un part et un autre arrive. Nécrologies et anniversaires mêlés. Il y rappelle fort justement et pour notre plus grand plaisir que, vainquant le criminel effet de génération, Michael Moorcock et Big Bob Silverberg – les Iguanes de l’Imaginaire – tiennent toujours la rampe. Long live Mike and Bob !! Suivent les rubriques habituelles organisées en actualité et dossier : nouvelles, cahier critique, interview, biographie, analyses, bibliographie exhaustive, philofiction en lieu et place de scientifiction (Roland Lehoucq cédant sa place à Alice Carabédian) . C'est de Iain Banks qu'il est question dans le dossier de ce numéro, on y apprendra que la Culture n’est pas seulement « ce qui reste quand on a tout oublié ». Dans le Bifrost 114 on pourra lire une jolie nouvelle de Iain Banks, intitulée Descente et située dans l’univers de la Culture (il y a des Orbitales)

BOF


Lent, verbieux, et de ce fait peu enthousiasmant, "Ally" est le signe incontestable d'un cycle qui s'étend trop, le syndrome "Wheel of Time". Karen Traviss n'est pas George R R Martin et, utilisant beaucoup de personnages (quoique...) sur beaucoup de lieux, elle ennuie plus qu'elle ne captive. Dommage j'avais bien aimé le début du cycle et même la suite immédiate.
Ally, Karen Traviss

Commentaires

arutha a dit…
Je n'avais pour ma part pas pu dépasser la moitié du premier opus. Les personnages principaux sont des écolos un rien extrémistes et je ne les ai pas trouvés le moins du monde attachants.
Et ce n'est pas Georges qui a écrit The Wheel of Time mais Robert. Paix à son âme.
Gromovar a dit…
Pour Robert, je sais. Je voulais simplement dire que lorsqu'on écrit un cycle de milliers de pages on peut s'y enliser comme Robert Jordan a fini par le faire, ou pas, comme le grand George (même s'il met quatre ans pour écrire un volume).
En ce qui concerne le début j'avais bien aimé parce que je trouvais que ça traduisait bien l'intrication des situations de combat.
arutha a dit…
Mille excuses.
Ce n'est qu'après avoir envoyé mon commentaire que l'idée m'est venue que je pouvais avoir mal interprété tes propos, ce que tu confirmes.
Je dois tourner sept fois ma souris sur son tapis avant d'écrire.
Je dois tourner sept fois ma souris sur son tapis avant d'écrire.
Je dois tourner sept fois ma souris sur son tapis avant d'écrire.
Je dois ...
Gromovar a dit…
No problemo :-)
ceci est donc la suite de la "Guerre des Wes'harr"... mais celle non-traduite et totalement dispensable alors? Je vais déjà me faire le tome 2 et 3, puis le reste j'oublierai. Les lectures ne manquent pas!
Gromovar a dit…
Sage décision :-)