Bulikov, la capitale du Continent. Autrefois une ville grande et puissante, le centre du monde. Aujourd’hui une ville conquise, en partie détruite. Rome après Alaric. Kind of. Dans le monde de La Cité des marches , dernier roman traduit en français de Robert Jackson Bennett et premier volume de le trilogie des Cités divines , il y a le Continent et le reste – ce centre-périphérie théorisé au XIV siècle par le grand historien arabe Ibn Khaldoun . Et, comme dans l’analyse de ce dernier, la périphérie a fini par conquérir le centre, en l’occurrence le Continent ; rien d’étonnant, ce n’est qu’à la périphérie que résident la force et la détermination nécessaires à la guerre. Concrètement, c’est une révolte conduite avec succès il y a plusieurs décennies par le Kaj qui a abattu l’empire continental et ses dieux. La chute des uns entrainant celle de l'autre. Car tu dois le savoir, lecteur, le pouvoir sans égal du Continent était le fruit des « miracles » de ses six dieux, incarnés dans le
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Commentaires
Et combien prévoyait-il de tomes à l'origine, GRR Martin ? 7 ?
Bon, on est pas rendus. :)
PS je me moque gentiment, je ne fais pas partie de ceux qui font du Martin-bashing sur les forums en critiquant sa lenteur d'écriture.
Cela dit ce n'est pas le dernier tome,non ?
L'intérêt était toujours là dans le dernier volume ?
Il ne se "wheeloftimise" pas ?
Moi non plus je ne fais pas de Martin-bashing ; mais j'aimerais quand même qu'il se bouge un peu 'grin'.
@ Efelle : C'est vraiment long mais c'est vraiment bon (désolé, je me mazaurise).