La Cité des marches - Robert Jackson Bennett

Bulikov, la capitale du Continent. Autrefois une ville grande et puissante, le centre du monde. Aujourd’hui une ville conquise, en partie détruite. Rome après Alaric. Kind of. Dans le monde de La Cité des marches , dernier roman traduit en français de Robert Jackson Bennett et premier volume de le trilogie des Cités divines , il y a le Continent et le reste – ce centre-périphérie théorisé au XIV siècle par le grand historien arabe Ibn Khaldoun . Et, comme dans l’analyse de ce dernier, la périphérie a fini par conquérir le centre, en l’occurrence le Continent ; rien d’étonnant, ce n’est qu’à la périphérie que résident la force et la détermination nécessaires à la guerre. Concrètement, c’est une révolte conduite avec succès il y a plusieurs décennies par le Kaj qui a abattu l’empire continental et ses dieux. La chute des uns entrainant celle de l'autre. Car tu dois le savoir, lecteur, le pouvoir sans égal du Continent était le fruit des « miracles » de ses six dieux, incarnés dans le

Merry X-Mas

Depuis de longues années, je suis un lecteur assidu de la revue Mad Movies. Unique revue de cinéma française dans laquelle on puisse trouver des informations sur des films aux titres aussi improbables que "Tyrannosaurus Azteca", "Histeria" ou "Opapatika", elle est un régal pour le geeképhile.
Je ne résiste pas au plaisir de vous livrer le début de l'édito du mois en contrepoint de ma liste de cadeau du 10 décembre. Enjoy !

Ah, le mois de décembre ! Les bousculades de la foule lobotomisée dans les grands magasins, les gniards affamés scotchés devant les vitrines des boutiques de jouets, les ados entassés dans les rayons des disquaires tentant d'attraper les dernières compilations de Tokioctonik, les mamies salivant devant des boites de chocolats industriels fabriqués avec de la graisse animale, les jeunes métrosexuels s'arrachant les derniers gadgets high-tech avec rage et détermination... Ne cherchez pas midi à quatorze heures, le scénario ultime de film d'horreur, il est ici !

C'est vrai que, vu comme ça, ça donne envie. Bonnes fêtes quand même !

Commentaires

Anonyme a dit…
Ah! Noël! La famille, les dîners de famille qui traînent, incitant les gens à boire trop d’alcool et faisant remonter des colères qui datent de l’enfance
Vous savez c’est faux de dire que le taux de suicide connaît un pic pendant les fêtes, je crois même que c’est une période ou il est en baisse, par contre ce qui connaît un pic c’est la consommation de Prozac et autres anxiolytiques…

Voilà un premier commentaire, rien de très spirituel mais c’est un début.
Gromovar a dit…
Les Nexus 6 sont les réplicants les plus parfaits, mais aussi les plus dangereux. Suis-je en danger ?
Si vous voulez voir quelque chose de fascinant sur les repas de famille, louez Festen.
Fora !
Gromovar a dit…
Chère Nexus 6, si vous aimez les histoires de réplicants je ne peux que vous conseiller de lire "Black Man" de Richard Morgan.
Mes salutations les plus sincères.